Qu'est ce que la QVCT ?

La QVCT (ou Qualité de Vie et des Conditions de Travail), désigne l’ensemble des actions qui permettent d’améliorer à la fois les conditions dans lesquelles les salariés exercent leur activité et la performance globale de l’entreprise.

L’objectif est double : préserver la santé des employés et soutenir la qualité du travail réalisé, au service de la compétitivité et de l’attractivité de l’organisation.

 

Mettre en œuvre une politique de QVCT, c’est faire le choix d’un modèle de performance durable, fondé sur l’engagement, la reconnaissance et le respect des femmes et des hommes qui font l’entreprise.

qualité de vie et des conditions de travail

La qualité de vie au travail désigne et regroupe sous un même intitulé les actions qui permettent de concilier à la fois l’amélioration des conditions de travail pour les salariés et la performance globale des entreprises.

— Accord National Interprofessionnel du 19 juin 2013

Quels sont les objectifs de la QVCT ?

La Qualité de Vie et des Conditions de Travail poursuit plusieurs objectifs essentiels, à l’intersection des enjeux humains et économiques de l’entreprise :

  • Préserver la santé physique et mentale de chaque collaborateur en agissant sur les risques professionnels, la charge de travail et l’organisation.

  • Améliorer la qualité du travail réalisé en donnant aux équipes les moyens d’exercer leur métier dans de bonnes conditions matérielles, relationnelles et organisationnelles.

  • Favoriser l’implication et la motivation en renforçant le sens du travail, la reconnaissance et les perspectives d’évolution professionnelle.

  • Renforcer la coopération et la qualité du dialogue social en associant les salariés aux projets qui impactent leur quotidien.

  • Soutenir la performance durable de l’entreprise en intégrant la QVCT comme levier d’innovation, d’attractivité et de fidélisation des talents.

Quelle est la différence entre la QVT et la QVCT ?

difference qvct et qvt

La QVT (Qualité de Vie au Travail) et la QVCT (Qualité de Vie et des Conditions de Travail) partagent un même objectif : améliorer le bien-être des salariés et la performance des entreprises.


Cependant, l’évolution de la terminologie, officialisée par l’Accord National Interprofessionnel (ANI) de décembre 2020, marque un changement d’approche important.

Avec la QVT, l’accent était souvent mis sur le confort et l’ambiance de travail, à travers des initiatives ponctuelles (espaces de détente, évènements conviviaux, activités de bien-être).


La QVCT va plus loin : elle intègre explicitement les conditions de travail comme levier central d’amélioration. Il ne s’agit plus uniquement de créer un cadre agréable, mais d’agir en profondeur sur :

  • L’organisation du travail,

  • La prévention des risques professionnels,

  • Le management,

  • La reconnaissance,

  • Le sens donné aux missions.

 

La QVCT implique donc une approche systémique : elle s’inscrit dans la stratégie de l’entreprise et s’appuie sur un dialogue social renforcé.

 

En résumé :
La QVT cherchait à rendre le travail plus agréable.
La QVCT vise à améliorer durablement les conditions d’exercice du travail pour concilier bien-être, qualité du travail réalisé et performance collective.

Quelles sont les 6 dimensions de la QVCT ?

La QVCT repose sur une approche globale, structurée autour de six grandes dimensions :

1. Le sens du travail
Favoriser l’utilité sociale du métier, la clarté des missions et l’alignement avec les valeurs de l’entreprise.

 

2. La qualité des relations au travail
Développer des relations respectueuses, solidaires et coopératives entre collègues, managers et direction.

 

3. L’organisation du travail
Agir sur la charge de travail, l’autonomie, les processus et la clarté des rôles pour limiter les irritants et fluidifier l’activité.

 

4. Le développement des compétences et des parcours professionnels
Permettre à chacun de progresser, de se former, d’évoluer et de construire son employabilité.

 

5. La santé au travail
Prévenir les risques physiques, psychiques et organisationnels pour garantir un environnement de travail sain et sécurisé.

 

6. L’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle
Adapter les modes de travail (horaires, télétravail, flexibilité) pour mieux concilier engagements personnels et exigences professionnelles.

dimensions de la qvct

Quels sont les sujets pris en compte par la QVCT?

La Qualité de Vie et des Conditions de Travail (QVCT) couvre un large champ de thématiques qui touchent à la fois à l’organisation du travail, au bien-être des employés et à la dynamique managériale.

Elle permet d’aborder de manière concrète les enjeux du quotidien professionnel en tenant compte des spécificités de chaque métier.

Parmi les sujets les plus fréquemment intégrés dans une démarche QVCT, on retrouve :

  • L’organisation du travail : charge et rythme de travail, clarté des rôles, coordination entre équipes.

  • Le management : richesse de l’accompagnement, posture managériale, reconnaissance, régulation des tensions.

  • La santé au travail : prévention des risques psychosociaux, sécurité, ergonomie des postes.

  • La communication interne : clarté de l’information, fluidité des échanges, espace de parole.

  • L’équilibre vie professionnelle / personnelle : flexibilité, télétravail, gestion du temps.

  • Le sens et l’utilité du travail : finalité des missions, impact du travail, cohérence avec les valeurs de l’entreprise.

  • Le développement professionnel : formation, montée en compétences, perspectives d’évolution.

  • L’inclusion et la diversité : égalité des chances, lutte contre les discriminations, adaptation des conditions de travail.

A noter que ces sujets ne sont pas traités séparément : ils s’inscrivent dans une approche globale et participative, fondée sur le dialogue et l’amélioration continue.

🗒️ Quelle est la différence entre les RPS et la QVCT ?

Les RPS (Risques Psychosociaux) et la QVCT (Qualité de Vie et des Conditions de Travail) sont deux notions complémentaires, mais distinctes dans leur approche et leur finalité.

 

  • Les RPS désignent les facteurs de risque susceptibles de nuire à la santé mentale, physique et sociale des salariés. Ils incluent notamment le stress, les conflits, la surcharge de travail, le harcèlement, l’isolement ou encore le manque de reconnaissance. L’objectif est avant tout préventif : il s’agit d’identifier, évaluer et réduire les risques pour protéger les salariés et respecter les obligations légales de l’employeur.

 

  • La QVCT, quant à elle, propose une approche globale et positive du travail. Elle vise à améliorer les conditions d’exercice du travail, à renforcer le sens, la coopération, la qualité du management et l’équilibre des temps de vie. Elle ne se limite pas à la prévention des risques : elle développe les leviers du bien-être et de la performance durable.

 

En résumé :

  • Les RPS répondent à la question : Quels sont les dangers à éviter ?

  • La QVCT s’intéresse à : Quelles conditions créer pour un travail de qualité, porteur de santé et de performance ?

Les deux approches doivent être articulées : la prévention des RPS est un prérequis, la QVCT est une ambition stratégique.

C'est quoi une démarche QVT ?

Une démarche QVT (aujourd’hui appelée QVCT) est une approche structurée et participative visant à améliorer, de manière durable, les conditions de travail, la santé des salariés et la productivité des entreprises.

 

Elle ne se limite pas à quelques initiatives ponctuelles (type télétravail ou yoga en entreprise), mais repose sur une analyse fine du travail réel, un dialogue social actif et une implication des équipes. L’objectif est de construire des solutions adaptées aux réalités du terrain, en prenant en compte à la fois les contraintes de l’entreprise et les besoins des salariés.

 

Une démarche QVT comprend généralement plusieurs étapes :

  • Un diagnostic partagé, à partir de données objectives (entretiens, enquêtes, ateliers, observations).

  • Une priorisation des enjeux en lien avec les conditions de travail, le management, les relations ou le sens du travail.

  • La co-construction d’un plan d’actions réaliste, piloté dans la durée.

  • L’évaluation des effets de cette approche sur chaque collaborateur ainsi que sur la performance collective.

 

La clé d’une démarche QVT réussie ? Une volonté sincère de faire évoluer les pratiques et une approche transversale, où chaque acteur a un rôle à jouer.

bénéfices démarche qvct

💪 Quels sont les bénéfices ?

Mettre en place une démarche QVCT, c’est investir dans un modèle de performance durable et humainement soutenable. Les retombées sont multiples, tant pour les salariés que pour l’entreprise.

Pour les salariés :

 

  • Un meilleur équilibre de vie : grâce à des aménagements adaptés et une organisation plus fluide.

  • Une santé préservée : réduction des risques physiques et psychosociaux.

  • Un engagement renforcé : sentiment d’utilité, reconnaissance et perspectives d’évolution.

  • Des relations de travail plus sereines : coopération, confiance et qualité du climat social.

Pour l’entreprise :

 

  • Une performance durable : meilleure qualité du travail, baisse des dysfonctionnements, innovation accrue.

  • Une baisse de l’absentéisme et du turnover : des salariés en meilleure santé, plus investis.

  • Un management plus efficace : plus de clarté, de régulation, d’agilité.

  • Une attractivité renforcée : image employeur positive, capacité à recruter et fidéliser les talents.

Comment mettre en place sa démarche ?

Mettre en place une démarche QVCT ne s’improvise pas. Il s’agit d’un processus structuré, co-construit avec les parties prenantes, qui s’appuie sur l’observation du travail réel et sur des échanges à forte valeur ajoutée. Voici les grandes étapes à suivre :

demarche qvct
1. Clarifier les objectifs et la finalité de la démarche
Définir ce que l’entreprise souhaite améliorer : climat social, santé des équipes, qualité du travail, engagement, attractivité…
Cette clarification permet de donner du sens à la démarche et d’impliquer les acteurs dès le départ.
 

2. Impliquer les parties prenantes

Associés dès les premières étapes, les représentants du personnel, les managers, les collaborateurs et parfois les services de santé au travail garantissent la légitimité et la pertinence de la démarche.

 

3. Réaliser un diagnostic partagé

À travers des enquêtes, des entretiens, des ateliers ou l’analyse des indicateurs RH, il s’agit de comprendre les points de tension, les leviers d’amélioration, et les spécificités des métiers.

 

4. Co-construire un plan d’actions réaliste

Les solutions sont bâties avec les équipes, en s’appuyant sur les résultats du diagnostic : elles doivent être concrètes, priorisées, et adaptées aux contraintes de l’entreprise.

 

5. Expérimenter, ajuster, déployer

Une démarche QVCT efficace fonctionne souvent par expérimentation locale, avant un déploiement plus large. Elle s’inscrit dans une logique d’amélioration continue, avec des ajustements progressifs.

 

6. Mesurer l’impact et faire vivre la démarche

Évaluer les effets permet de renforcer la crédibilité du projet et d’en faire un levier managérial durable, inscrit dans la stratégie RH et la gouvernance.

Pour qu’il y ait QVCT, il convient de s’entendre dans l’entreprise sur des ambitions communes, les sujets à traiter, et la méthode à appliquer.

— Référentiel QVCT, Anact

🙋‍♂️ Qui sont les acteurs de la QVCT ?

La réussite d’une démarche QVCT repose sur l’implication concertée de plusieurs acteurs à tous les niveaux de l’entreprise. Chacun a un rôle complémentaire à jouer pour faire vivre une culture du travail de qualité.

 

• La direction

Elle donne l’impulsion stratégique, fixe les orientations, alloue les moyens et porte la démarche dans la durée. Sa mobilisation visible est un facteur clé de réussite.

 

• Les managers

Ils sont les relais opérationnels de la QVCT au quotidien. Par leur posture, leur capacité à réguler les tensions, à écouter et à adapter l’organisation du travail, ils influencent directement les conditions de travail.

 

• Les salariés

Ils sont au cœur du processus. Leur expertise du travail réel est indispensable pour identifier les irritants, proposer des optimisations concrètes et participer activement à la co-construction des solutions.

 

• Les représentants du personnel (CSE, CSSCT…)

Ils jouent un rôle de veille, de médiation et de co-construction, notamment sur les questions de santé, de conditions de travail et de relations employeur-collaborateurs.

 

• Les fonctions RH et QHSE

Elles assurent la coordination de la démarche, la mise en cohérence avec la stratégie RH, la prévention des risques et l’évaluation des actions.

 

• Le pôle santé au travail et les acteurs externes

Ils apportent un regard expert sur les enjeux de santé, d’ergonomie ou de climat social. Des consultants ou coachs peuvent également accompagner les équipes dans la mise en œuvre.

acteurs de la qvct

Comment le CSE participe-t-il à la QVCT ?

Le Comité Social et Économique (CSE) joue un rôle central dans la démarche QVCT, en tant qu’acteur du dialogue social et interlocuteur privilégié sur les sujets liés aux conditions de travail, à la santé et au bien-être des collaborateurs.

 

Le CSE participe à la QVCT de plusieurs façons :

  • Il relaie les besoins et les remontées du terrain, en identifiant les difficultés vécues par les équipes (charge de travail, tensions, conditions matérielles, équilibre des temps…).

  • Il contribue à l’analyse des risques professionnels, notamment psychosociaux, via la Commission Santé, Sécurité et Conditions de Travail (CSSCT) lorsqu’elle existe.

  • Il est consulté sur les projets d’organisation du travail, d’aménagement des locaux, de recours au télétravail ou de transformation des conditions d’emploi, afin d’en évaluer les impacts sur la qualité de vie au travail.

  • Il co-construit avec la direction des actions concrètes pour améliorer les conditions de travail, en s’appuyant sur des diagnostics, des enquêtes internes ou des retours d’expérience.

  • Il peut initier des propositions en matière de sensibilisation, de santé au travail ou de développement de la QVCT.

 

En résumé, le CSE n’est pas seulement un organe de contrôle : il est un acteur à part entière du pilotage de la QVCT, porteur de la voix des salariés et garant d’un dialogue entre la direction et les collaborateurs.

🏢 Qu'est-ce que la QVCT dans la fonction publique ?

Dans la fonction publique, la QVCT s’inscrit dans une dynamique nationale de modernisation du service public, de prévention des risques professionnels et de valorisation de la mobilisation des agents.

 

Depuis l’accord cadre du 22 octobre 2013 sur la prévention des risques psychosociaux, et plus récemment avec le plan santé au travail dans la fonction publique 2022-2025, la QVCT est devenue un enjeu stratégique, à la croisée de la performance du service public et du bien-être des agents.

 

Les objectifs sont similaires à ceux du secteur privé :

  • Améliorer les conditions d’exercice des missions, souvent marquées par une forte charge émotionnelle ou administrative.

  • Préserver la santé physique et psychique des agents, en agissant sur les risques liés à l’organisation, à la relation au public ou à l’environnement de travail.

  • Renforcer l’engagement professionnel à travers la reconnaissance, le sens du service rendu, et le développement des compétences.

  • Soutenir le dialogue social et la participation des agents à l’évolution continue des pratiques de travail.

 

Ce qui distingue la QVCT dans la fonction publique :

  • Une diversité des métiers et des environnements (éducation, justice, santé, collectivités, sécurité, administration centrale…).

  • Une culture de service où la finalité d’intérêt général renforce la quête de sens mais peut aussi générer des tensions fortes.

  • Des marges de manœuvre parfois limitées (budgets, effectifs, rigidités organisationnelles), qui nécessitent une ingéniosité managériale et une forte coopération interne.

 

➡️ La QVCT dans la fonction publique, c’est donc l’art de concilier exigence de service, respect des agents, et évolutions organisationnelles, dans un cadre où la qualité du travail est au cœur de la mission publique.

Quels résultats ?

exemple de leadership via le coaching professionnel
-25%

D’absentéisme lié au stress ou à la démotivation

exemple de coaching professionnel pour la confiance en soi
+40%

D’engagement des collaborateurs dans leurs missions

Exemple de coaching professionnel de performance
+33%

De performance collective 

Téléchargez notre livre blanc : "QVCT – 7 étapes pour une démarche réussie"

Envie de passer à l’action mais vous ne savez pas par où commencer ?


Ce guide pratique vous accompagne étape par étape pour construire une démarche QVCT cohérente, ambitieuse et adaptée à votre réalité de terrain.

 

👉 Dans ce livre blanc, vous trouverez :

  • Une méthodologie claire en 7 étapes, issue de notre expérience de terrain et des recommandations de l’ANACT et de l’ANI ;

  • Des exemples concrets d’actions, inspirés de cas réels d’entreprises engagées ;

  • Des conseils pour mobiliser vos collaborateurs, structurer votre plan d’actions, et mesurer les effets ;

  • Des ressources utiles pour articuler votre démarche QVCT avec votre stratégie RSE, votre politique RH et vos obligations en matière de santé au travail.

Livre blanc QVCT

L’évaluation d’une démarche QVCT repose sur une combinaison d’indicateurs quantitatifs et qualitatifs. En France, des outils comme les baromètres sociaux, les enquêtes internes ou les retours d’expérience permettent d’analyser l’évolution du bien-être des collaborateurs, du climat social et de la performance collective. On mesure notamment les effets sur le taux d’absentéisme, la fréquence des TMS, le turnover, ou encore la qualité du dialogue social. L’ANACT propose également des grilles d’analyse pour structurer cette évaluation. Enfin, des études peuvent être menées pour comparer les résultats avec les objectifs fixés dans le plan d’action initial.

Une démarche QVCT mal pilotée ou perçue comme superficielle peut générer de la défiance, voire aggraver les tensions existantes. L’absence d’implication des collaborateurs, un manque de clarté dans les objectifs ou une mauvaise communication autour des actions menées risquent de nuire à la cohésion sociale. Des études nationales, notamment celles relayées par l’ANACT, montrent que lorsque la QVCT est réduite à du cosmétique (ex. : confort sans fond), elle échoue à répondre aux enjeux de santé, d’égalité et de performance durable. Cela peut également affecter la crédibilité des engagements RSE de l’entreprise.

L’implication des collaborateurs est un facteur clé de succès. Cela passe par des démarches participatives et inclusives, qui reconnaissent leur expertise du travail réel. Organiser des ateliers de co-construction, des temps d’échange ou des sondages anonymes permet de faire émerger des actions concrètes et adaptées. L’ANI (Accord National Interprofessionnel)de 2020 encourage ce type de dynamique, en soulignant l’importance du dialogue social et de la concertation à tous les niveaux. Intégrer les salariés dans le processus dès le diagnostic garantit des résultats ancrés dans la réalité de terrain et renforce leur engagement.

Absolument. La QVCT n’est pas réservée aux grandes structures : elle peut être déployée à toutes les échelles, y compris dans les TPE/PME. En s’appuyant sur des outils simples (entretiens, observations terrain, analyse des irritants du quotidien), les petites structures peuvent identifier des leviers d’amélioration concrets : gestion du temps, communication interne, aménagement des postes pour limiter les TMS, etc. De nombreuses initiatives nationales soutenues par l’ANACT montrent que des actions ciblées peuvent avoir un impact fort sur le bien-être et l’efficacité, même avec des moyens limités.

De nombreux outils peuvent soutenir les démarches QVCT. Parmi eux : les diagnostics participatifs, les ateliers d’intelligence collective, les outils d’auto-évaluation, les baromètres internes, ou encore les guides méthodologiques publiés par l’ANACT ou les acteurs de la prévention en France. Les tableaux de bord RH, les indicateurs sociaux (absentéisme, accidents du travail, promotion interne), ou les outils collaboratifs numériques peuvent également faciliter le suivi. L’important est d’adapter les outils aux réalités de l’entreprise et aux contenus des actions choisies, pour garantir leur lisibilité et leur efficacité.

4.9/5 - (45 votes)
Calista Conseil
Ne manquez plus rien !
Inscrivez-vous pour recevoir le meilleur de nos actualités dans votre boite de réception !
My Company
Stay Up-to Date! Join our Newsletter
Leverage agile frameworks to provide a robust synopsis for high level overviews.
Calista Conseil
Ne manquez plus rien !
Inscrivez-vous pour recevoir le meilleur de nos actualités dans votre boite de réception !
My Company
Stay Up-to Date! Join our Newsletter
Calista Conseil
Merci !
Tout est ok ! Vous êtes désormais inscrit à notre newsletter. À très vite !
My Company
You are Subscribed!
Thank You for your subscription. We send out newsletter with insightful data every Monday.